Les conflits FECB-Gouvernement sont un enjeu remarquable, qui ne cessent pas à adjouter de tension indifférement dans les vies des étudiants et des professeurs des écoles publiques de la C-B. Cependant, qu’est-ce que les gens pensent vraiment de cette problème?
En entrevuant les professeurs de l’école Charles Best, j’ai découvert pour voir leurs vraies opinions sur ce sujet. Et disons des leurs réponses, il sent qu’ils ont une attitude assez méfiant de ces problèmes et de l’avenir. Voici quelques extraits de nos conversations:
Que pensez-vous des tensions entre le FECB et le gouvernement?
M. Bruxelle : Il y a aucune chance qu’ils pourront être en accord… on a payé le médiateur pour dire qu’en fait, il peut rien faire à résoudre ce probleme, car les intérêts des profs et du gouvernement sont si éloignés.
M. Hughes: Je crois qu’il aura un accord, mais pour le bien de moi-même je reste à distance de ceci. J’ai déjà participé en trois à quatre grèves? Et il y avait jamais un fin positif.
C’est quoi votre propre avis sur ceci?
M. Hughes: Laissons-nous faire notre travail, payez nous équitablement- je crois que ceci est quelque chose que tous les profs aimeraient. Je peux facilement tolérer la stresse des cours et de la vie écolière, je ne supporte pas de stresse bureaucratique. Donc, c’est pourquoi j’avais choisi d’instruire un cours supplémentaire- tout le monde est intéressé et engagé.
M. Startin: Pour ton professeur normal, l’emploi lui-même n’a pas beaucoup changé. Mais ce qui a changé, c’est les valeurs d’enseigner et d’être un prof. Par rapport aux autres postes gouvernementaux comme le police et les pompiers, les professeurs se trouvent fréquemment dans un position de bas étage. Ce qui se passe maintenant c’est qu’on sape l’intégrité de ce rôle d’être un professeur, et le gouvernement et l’union des professeurs tous les deux sont en faute.
Comment voyez-vous l’avenir de ces tensions?
M. Hughes: Je crois que ceci aura un fin agréable. Je ne suis pas vraiment la personne qui sait beaucoup sur ce sujet, plus ou moins car je veux rien à faire avec les affaires bureaucratiques, mais je crois que les professeurs seront capables de s’occuper de ceci.
M. Startin: Je ne suis pas sûr le résultat de tout cela. Mais ce que je crois c’est que l’union des professeurs n’est pas assez intelligent avec les moyens qu’elle prennent à réaliser leurs buts. Les grèves à venir ne sont pas fort probables car on commence à perdre les ressources à cause du fait qu’on l’a fait trop souvent au passé. Le FECB devrait être plus créatif si ils veulent recevoir ce qu’ils veulent. Par exemple, au lieu de dire que « oh, on demande une augmentation de salaire pour les profs » il faut utiliser des méthodes plus inventives. Sinon, l’avenir des professeurs de Colombie-Britannique est en jeu.