Les moyennes académiques – encore un autre frein inutile pour les jeunes étudiants

Les notes sont un objet de litige important pour tout étudiant voulant poursuivre une éducation supérieure. Pour entrer dans ces écoles, les élèves potentiels prouvent leur capacité : leur potentiel scolaire en démontrant leurs notes a l’école secondaire reliées aux discipline qu’ils voudraient poursuivre.

Cependant, certains cours sont pondérés plus que d’autres dans le dossier professionnel d’admission. Considérés comme fondement, la majorité des universités demandent une note minimum d’anglais et de mathématiques d’au moins dans les quatre-vingts et les quatre-vingt-dix.

La problématique se produit quand on se rend compte que ces cours n’ont souvent rien à faire avec le domaine d’étude. Oui, c’est vrai que ces cours doivent être requis universellement (car ils sont des compétences de base) mais de demander un si haut niveau est vraiment injuste envers la majorité des personnes.

Par exemple, une enquête conduit par des professeurs d’université Northeastern aux États-Unis révéle que c’est vrai que 94% des personnes utilisent les mathematiques de base dans leur travail, moins de 25% des personnes utilisent un niveau de maths plus complexe que les fractions, et seulement un piètre 4 à 9% des personnes appliquent l’algèbre complexe et le calcul infinitésimal.

C’est peu probable qu’un étudiant de littérature toucherait des mathématiques non élémentaires dans son travail actuel. Donc, exiger ce niveau des notes des personnes qui n’iront pas dans ces études est un comportement non seulement injuste, mais inutile.

Dans un fichier offert par l’université de Colombie-Britannique, un moyen « compétitif » a été défini à être entre 80% et 90% pour l’anglais 12 et les mathématiques 12:

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Les moyennes « competitives » croissent de chaque année. La dernière décennie la moyenne était environ 85% mais actuellement on peut s’attendre à avoir au moins une moyenne de 90% ou plus.

Si l’objectif centrâle de l’école est de vraiment préparer les élèves pour le monde réel, il faut se rendre compte que ceci ne sert à rien qu’à ajouter plus de stresse et d’obstacles pédagogiques, pour un sujet que moins de 10% des élèves appliqueront dans leur vie réelle. Demander des notes extrêmes pour des matières non pertinentes est fondamentalement prétentieux et ne s’aligne pas avec la réalité.

Ceci ne veut pas du tout dire que les mathématiques et l’anglais complexes sont entièrement inutiles dans le monde réel. Mais c’est un appel aux armes pour les écoles. Ils devront instruire des sujets actuels et pertinents, comme la philosophie, l’ethique, le savoir-vivre- des sujets qui aideront vraiment les générations à venir.

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