Les employés de la ville de Coquitlam doivent être aveugles. Une nouvelle tempête de neige est venue et passée, et une nouvelle réponse pathétique de la part d’une ville qui est censée avoir une équipe phénoménale pour assurer la sécurité des routes. C’est ridicule !
Il y a quelques semaines, un nombre énorme de personnes, y compris des étudiants et des professeurs, ont été bloquées par la neige à l’école et sur les routes pendant des heures, même si le gouvernement savait depuis plusieurs jours qu’une tempête allait se produire. Est-ce qu’il y avait des chasse-neiges sur les chemins ? Est-ce que du sel a été placé sur les routes à l’avance pour éviter les routes glacées ? Bien sûr que non !
Vous auriez probablement pensé que le gouvernement et les employés payés pour assurer la viabilité de nos routes tireraient les leçons de leurs erreurs et seraient plus proactifs la prochaine fois. Vous auriez tort.
Il y a deux jours, une tempête de neige prévue depuis presque une semaine a frappé la ville, recouvrant tout d’une couche de près de 35 centimètres de neige. Bien que cela ait pu ressembler à un rêve d’hiver, pour les personnes qui conduisaient, c’était bien différent. Comme la dernière fois, les habitants ont dû se débrouiller seuls pour dégager les routes, avec des chasse-neiges du gouvernement qui n’étaient nulle part.
Quand j’ai quitté pour le travail, déjà équipé de pneus d’hiver, je glissais partout et je ne trouvais pratiquement aucune traction, même sur les routes principales ! C’était si mauvais que j’ai dû retourner à la maison et téléphoner mon supérieur.
Nous ne sommes pas à San Francisco ! Nous ne sommes pas à Los Angeles ! Nous sommes à Coquitlam ! Nous ne vivons pas dans une ville où nous pouvons nous reposer et nous attendre à ce qu’il y ait du soleil tout le temps. Récemment, notre ville et les personnes que nous payons pour assurer notre sécurité ont été mise en échecs totalement. Ils devront être beaucoup plus proactifs, avec des chasse-neiges en attente et du sel déjà sur les routes, s’ils ne veulent pas qu’un événement comme celui-ci se reproduise encore.