« As-tu un vape? »
C’est la question la plus posée dans les salles de bains des écoles secondaires. Quand vous entrez dans les salles de bains, il y a presque toujours un groupe d’élève qui prennent tous l’espace pour vapoter. Ça ne fait rien quelle heure ou quel jour.
Je ne comprends pas comment les élèves ont toujours l’énergie pour inhaler de la vapeur. Ça ne fait rien même si c’est un lundi matin à 8 h 30. Je n’ai même pas assez d’énergie d’ouvrir mes yeux à 8 h30, mais ces enfants sont en train de vapoter. Incroyable.
Chaque année, avec l’introduction des nouvelles 9èmes années, le nombre des étudiants dans nos toilettes avec des dépendances à la nicotine augmente. Parfois je me demande comment la conversation d’acheter une cigarette électronique pourrait se produire avec de la logique.
« Excusé moi monsieur enfant, puis-je vous intéresser à une dépendance de nicotine? »
« Non merci, je suis bien comme je suis. »
« Mais cette dépendance ça a un différent ça gout c’est comme un cheesecake! »
« Oh wow! Dans ce cas, inscrivez-moi! »
À mon avis c’est un peu stupide, mais ça ne me fait rien si quelqu’un veut vapoter, sauf quand je ne peux même pas utiliser la salle de bain. C’est la même histoire avec les vestiaires; ils sont toujours remplis avec des élèves qui sont en train de vapoter. C’est un évènement tellement ordinaire que les élèves qui vapotent dans les salles de bains et dans les vestiaires semblent sincèrement confus quand ils voient quelqu’un qui entre dans la salle de bain pour utiliser les toilettes ou quelqu’un qui entre dans le vestiaire pour changer ses vêtements. C’est presque comme s’ils avaient oublié l’objectif de ces salles.
Je suis convaincu que dans quelques années, après quelques autres générations de gens qui vapotent, il y aura des élèves qui vont demander à leurs amis ou même à leurs professeurs, « Pourquoi est-ce qu’il y a des toilettes dans les salles de vapotage? »
Heureusement pour moi, j’ai seulement quelques mois qui me restent avant que je sois libre.
C’est Vrai! Les toilettes ne sont pas les espaces libre. Il y a toujours des garcons qui vapotent.