Les Devoirs : Ça détruit la vie

Pourquoi les Devoirs Semblent Tuer les Élèves

Plus que 50 pour cent de la vie d’un lycéen est consacré aux études : mais même quand la cloche sonne et que les étudiants peuvent rentrer chez eux, la présence de l’école ne disparait jamais. Les devoirs les hantent comme une ombre au-dessus de leur tête : une condamnation à perpétuité.

Dans les écoles secondaires d’aujourd’hui, c’est presque impossible de trouver un élève qui ne soit pas trop occupé. S’ils veulent continuer leur éducation, les étudiants doivent trop sacrifier.

À présent, les écoles de l’enseignement supérieur veulent que leurs postulants aient de bonnes notes, ont un travail et soient bénévoles, également. Comment les enfants peuvent-ils tout faire ? Un questionnaire, pris pendant la classe de Psychologie 12 à Dr. Charles Best, a révélé que 100 % d’étudiants sur 28 étaient privés de sommeil.

La pression que les enseignants créent, avec des devoirs et projets non nécessaires, n’améliore pas les connaissances. Elle encourage plutôt le stress et manque de sommeil. La santé est détruite et enfin, les étudiants fatigués meurent. Peut-être dans des accidents de voiture, ou en prenant de la drogue pour oublier leurs problèmes.

Les enfants devraient-ils travailler si forts, quand leurs parents les financent ? Pourquoi se stressent-ils si ce sont leurs téléphones qui gaspillent réellement leurs temps ? Malheureusement, les parents ne peuvent souvent pas payer les frais de scolarité, donc le travail est nécessaire.

Ce n’est également pas la faute des enfants s’ils ont besoin des cellulaires ; aujourd’hui, c’est obligatoire. Cependant, avec la quantité de choses à faire et le stress qu’ils ne savent pas encore gérer, la vie sociale des étudiants est aussi tuée.

La vie serait meilleure si les individus pouvaient étudier ce qui serait utile pour eux. Cependant, pour l’instant, les étudiants devraient au moins avoir plus de contrôle sur la quantité de devoirs qu’ils reçoivent. Après tout, les adultes font plus de décisions ; l’esprit de l’enfance dans les étudiants d’aujourd’hui est déjà mort.