L’Augmentation des prix a la cafétéria

La cafétéria de l’école sert comme une resource pour les élèves qui n’ont pas les moyens ou de temps à acheter ou cuire un repas. Cependant, il me sent que ceci ne soit pas le cas maintenant.

De mes quatre ans à cet école, chaque année a apporté des changements. En 2016 et même 2017 le cafétéria a été en. bonne forme avec des prix humbles et les plats satisfaisants. Mais ces dernières années, la qualité des biens baissaient et les prix continuent à augmenter. Ce qui a été une fois un repas de prix incroyablement abordable et délicieux pour le modeste prix de seulement 4.50 $ devient maintenant minable et pourrie pour le prix augmenté de 6 $. À ce moment, il vaut peut-être plus d’aller même au village pour acheter un pas.

Un but assez simple c’est d’être abordable et appétissant, la majorité de leurs plats ne peuvent pas attendre à ceci. Donc, il faille réexaminer les entreprises qu’on met en charge de ces services et voir vraiment si ils ont nos intérêts à l’esprit.

Ceci est reflective des diminutions de l’intégrité actuellement et tragiquement il révèle que même les enfants, leur nourriture et l’effet que ceci aurait sur leurs études n’est même pas exempté de l’avide des entreprises.

 

 

 

La problèmatique avec le congé de Noël – et pourquoi ca ne sera jamais addressé

Le congé d’hiver (ou bien, le congé de Noël,) se déroule pendant à peu près les dernières une ou deux semaines de décembre, et il sert comme une pause bienvenu pour les élèves. Cependant, il y existe une autre côté, une qui est bien inaperçu- il s’effectue deux ou trois semaines avant la fin du semestre. Au début, ceci ne semble pas comme inquiet importante, mais il devient plus sérieux quand on se rende compte des détails.

Premièrement, il faut se rendre compte que ceci est seulement un objet de litige avec le congé hivernal; le congé de printemps a rien de ces problèmes.

Le premier problème que j’explique c’est le fait que ce congé dure deux semaines. Les personnes sont naturellement confortables avec l’habitude, et il peut prendre quelques semaines (ou bien quelques mois) pour rétablir ces routines. Ceci est extrêmement éprouvant pour les élèves pendant les dernières semaines- les projets et examens finaux se situent ici.

La solution qu’on proposerait, c’est de déplacer ce congé à une période moins urgente, ou même le raccourcir à une semaine. De cette manière, Je suggère d’effectuer ceci pour rendre non seulement les examens, mais aussi le congé lui-même d’être plus libéré et agréable.

Mais ceci ne sera jamais possible. Un recensement canadien en 2017 a démontré que plus de 60% des canadiens s’identifient avec le christianisme. Prenant une population si grand en considération, l’impossibilité de résoudre ce problème devient bien évident.

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La partie du graphique en bleu sarcelle represente les réligions chrétiennes. En tout, elles representent plus de 75% de la population canadienne.

 

C’est vraiment un sujet important à réflechir pendant le congé, et moi, ce que j’ai conclu c’est que ceci nuit fondamentalment aux aptitudes d‘étude des élèves pendant la fin du semestre- les semaines les plus importantes du cours entier.

L’Avenir des Professeurs

Les conflits FECB-Gouvernement sont un enjeu remarquable, qui ne cessent pas à adjouter de tension indifférement dans les vies des étudiants et des professeurs des écoles publiques de la C-B. Cependant, qu’est-ce que les gens pensent vraiment de cette problème?

En entrevuant les professeurs de l’école Charles Best, j’ai découvert pour voir leurs vraies opinions sur ce sujet. Et disons des leurs réponses, il sent qu’ils ont une attitude assez méfiant de ces problèmes et de l’avenir. Voici quelques extraits de nos conversations:

Que pensez-vous des tensions entre le FECB et le gouvernement?

M. Bruxelle : Il y a aucune chance qu’ils pourront être en accord… on a payé le médiateur pour dire qu’en fait, il peut rien faire à résoudre ce probleme, car les intérêts des profs et du gouvernement sont si éloignés.

M. Hughes: Je crois qu’il aura un accord, mais pour le bien de moi-même je reste à distance de ceci. J’ai déjà participé en trois à quatre grèves? Et il y avait jamais un fin positif.

C’est quoi votre propre avis sur ceci?

M. Hughes: Laissons-nous faire notre travail, payez nous équitablement- je crois que ceci est quelque chose que tous les profs aimeraient. Je peux facilement tolérer la stresse des cours et de la vie écolière, je ne supporte pas de stresse bureaucratique. Donc, c’est pourquoi j’avais choisi d’instruire un cours supplémentaire- tout le monde est intéressé et engagé.

M. Startin: Pour ton professeur normal, l’emploi lui-même n’a pas beaucoup changé. Mais ce qui a changé, c’est les valeurs d’enseigner et d’être un prof. Par rapport aux autres postes gouvernementaux comme le police et les pompiers, les professeurs se trouvent fréquemment dans un position de bas étage. Ce qui se passe maintenant c’est qu’on sape l’intégrité de ce rôle d’être un professeur, et le gouvernement et l’union des professeurs tous les deux sont en faute.

Comment voyez-vous l’avenir de ces tensions?

M. Hughes: Je crois que ceci aura un fin agréable. Je ne suis pas vraiment la personne qui sait beaucoup sur ce sujet, plus ou moins car je veux rien à faire avec les affaires bureaucratiques, mais je crois que les professeurs seront capables de s’occuper de ceci.

M. Startin: Je ne suis pas sûr le résultat de tout cela. Mais ce que je crois c’est que l’union des professeurs n’est pas assez intelligent avec les moyens qu’elle prennent à réaliser leurs buts. Les grèves à venir ne sont pas fort probables car on commence à perdre les ressources à cause du fait qu’on l’a fait trop souvent au passé. Le FECB devrait être plus créatif si ils veulent recevoir ce qu’ils veulent. Par exemple, au lieu de dire que « oh, on demande une augmentation de salaire pour les profs » il faut utiliser des méthodes plus inventives. Sinon, l’avenir des professeurs de Colombie-Britannique est en jeu.

Pourquoi l’école Charles Best sera jamais rénovée.

Un sujet discuté au sujet de l’école Charles Best est son manque de rénovation. « Vieille, archaïque, ostracisée. » Ce sont des opinions typiques de la vue des étrangers.

Établi en 1971 (et donc étant en fonctionnement pour plus de 48 années,) elle est souvent considérée une des écoles les plus âgées dans le district scolaire. Mais en voyant tous les faits, je crois que la renovation sera un exploit inateignable sans des méthodes extrêmes.

Notre premier souci est le manque d’espace autour de l’école- elle est située tout près d’une falaise. Le sol est périlleux et le risque d’ éboulements garantit qu’aucun développement sûr pourrait être construit ici. C’est pourquoi à Charles Best, on compte sur nos six salles de classe portable pour accommoder les élèves- de bâtir encore plus près du ravin serait comme un risque trop important.

Un autre fait peu connu c’est que l’école et ses environs sont aussi situés sur de la terre instable et quelques professeurs affirment que l’ecole se situe sur une ancienne une décharge.

Meme si la renovation est une impossibilité, construire une nouvelle école serait une solution apropriee pour notre problème. Remarquez que l’emplacement de l’école est au coeur de tous nos problèmes. C’est donc pourquoi la seule solution est de vider une zone dans le parc Mundy pour avoir un lieu solide et en sécurité.

Cependant, le parc Mundy reste un endroit culturel important pour le peuple de Coquitlam et ces problèmes resteront jusqu’au ce qu’ils soient prêts à y renoncer. C’est regrettable qu’il faut enlever une moitié du parc Mundy et que personne envisagera cette idée, mais je vois ceci comme la seule façon qui fonctionnera.

Les moyennes académiques – encore un autre frein inutile pour les jeunes étudiants

Les notes sont un objet de litige important pour tout étudiant voulant poursuivre une éducation supérieure. Pour entrer dans ces écoles, les élèves potentiels prouvent leur capacité : leur potentiel scolaire en démontrant leurs notes a l’école secondaire reliées aux discipline qu’ils voudraient poursuivre.

Cependant, certains cours sont pondérés plus que d’autres dans le dossier professionnel d’admission. Considérés comme fondement, la majorité des universités demandent une note minimum d’anglais et de mathématiques d’au moins dans les quatre-vingts et les quatre-vingt-dix.

La problématique se produit quand on se rend compte que ces cours n’ont souvent rien à faire avec le domaine d’étude. Oui, c’est vrai que ces cours doivent être requis universellement (car ils sont des compétences de base) mais de demander un si haut niveau est vraiment injuste envers la majorité des personnes.

Par exemple, une enquête conduit par des professeurs d’université Northeastern aux États-Unis révéle que c’est vrai que 94% des personnes utilisent les mathematiques de base dans leur travail, moins de 25% des personnes utilisent un niveau de maths plus complexe que les fractions, et seulement un piètre 4 à 9% des personnes appliquent l’algèbre complexe et le calcul infinitésimal.

C’est peu probable qu’un étudiant de littérature toucherait des mathématiques non élémentaires dans son travail actuel. Donc, exiger ce niveau des notes des personnes qui n’iront pas dans ces études est un comportement non seulement injuste, mais inutile.

Dans un fichier offert par l’université de Colombie-Britannique, un moyen « compétitif » a été défini à être entre 80% et 90% pour l’anglais 12 et les mathématiques 12:

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Les moyennes « competitives » croissent de chaque année. La dernière décennie la moyenne était environ 85% mais actuellement on peut s’attendre à avoir au moins une moyenne de 90% ou plus.

Si l’objectif centrâle de l’école est de vraiment préparer les élèves pour le monde réel, il faut se rendre compte que ceci ne sert à rien qu’à ajouter plus de stresse et d’obstacles pédagogiques, pour un sujet que moins de 10% des élèves appliqueront dans leur vie réelle. Demander des notes extrêmes pour des matières non pertinentes est fondamentalement prétentieux et ne s’aligne pas avec la réalité.

Ceci ne veut pas du tout dire que les mathématiques et l’anglais complexes sont entièrement inutiles dans le monde réel. Mais c’est un appel aux armes pour les écoles. Ils devront instruire des sujets actuels et pertinents, comme la philosophie, l’ethique, le savoir-vivre- des sujets qui aideront vraiment les générations à venir.

Les abeilles

Un sentiment courant du 21e siècle, c’est que les jeunes ne  redonnent pas assez à la société. Mais les étudiants du district scolaire 43 nous montrent qu’il est bien possible d’attendre un équilibre entre la communauté et leur de vie personnelle.

Le projet pollinisateur, fondé en 2016 par un groupe d’ados de Coquitlam, se consacre à établir des espaces verts dans les zones urbaines et de promouvoir les recherches et les discussions envers les pollinisateurs de la chaîne alimentaire. Depuis ces dernières années, le groupe a construit de nombreux jardins et a sensibilisé envers la crise des pollinisateurs courant en Colombie-Britannique.

Planting Party With ParkSparks at the Coquitlam 'Good Neighbour Park'

Image des chefs de projet pollinisateur,  Patrick Zhao et Jason Liao. Utilisé avec la permission de Liao.

Au lieu de souligner les échecs sur une grande échelle, qu’ils trouvent trop « incroyablement vaste pour une initiative dirigée par les jeunes,» ils choisissent de résoudre les affaires plus raisonnables.

« Ça fait cliché, mais les activités à petite échelle peuvent vraiment faire une différence, » a dit Jason Liao, un des dirigeants de l’organisation.  « Quand les gens discutent au sujet de sauver l’environnement, ils ne se focalisent que sur des ennuis a gros échelles … contrairement à ceci, nous avons recherché des méthodes concrètes et scientifiquement soutenues à sauver les abeilles; ceci dit, il ne faudrait pas à dédramatiser les efforts à soulager les effets du changement climatique. »

Au sujet de leur programme pour 2020, ils poussent vers un système auto-suffisant.

« Lutter contre les crises environnementales exige de l’immense engagement et attention des générations à venir. Quand on implique les adolescents dans les programmes environnementaux, ils seront mieux équipés à l’avenir. »

Pour mieux sensibiliser les gens, le groupe a dressé un site web à https://www.thepollinatorproject.info/

Les appareils prothèses- une technologie incompétente ?

 Avec l‘avancement de la technologie, les prothèses deviennent de plus en plus avancées et disponibles dans la vie moderne. Remplacer une partie du corps humain peut souvent aider ou même sauver la vie d’une personne. Cependant, il y a beaucoup d’impasses qui bloquent leur efficacité et intégration fluide dans notre société: 

Le coût 

Les membres prothèses peuvent coûter de plus de cinquante mille dollars américains et ont une durée de vie utile de trois à cinq ans. Avec un prix si cher, ceci est représentatif d’une grande différence de qualité de vie de la haute société et les gens ordinaires.  

 

 L’acceptation sociale 

 Même si la technologie a avancé, un fait qui ne changeait pas, c’est que notre société continue à rejeter les sentiments des personnes amputés. Certains choisissent de ne pas de tout utiliser une prothèse, disant qu’ils sentent que leur qualité de vie est améliorée. De plus, certains individus sentent que leurs vies ont été « aggloméré » par l’introduction de ces appareils, et que les gens oublient que chaque personne amputée vient de ses propres circonstances.  

 

L’intrusion physique 

 Certains appareils prothèses ont besoin des chirurgies complexes ou de puces électroniques implantées dans le corps du patient. Ceci révèle un nouvel aspect de la technologie qui est encore bien inconnu- les cybernétiques dans des êtres vivants. De plus, la grande majorité de ces technologies ont un risque à causer des lésions cérébrales ou de dommages corporels.  

 

Enfin, on est loin du point ou les appareils prothèses peuvent sintégrer facilement dans nos vies- un problème qui peut seulement être adressé si on prendra le temps à comprendre l’effet totale de ces technologies et leurs utilisateurs.