Écrit par Pierre-Luc Publié sur le 29 Novembre 2019.
Depuis deux siècles, le capitalisme s’est développé pour garantir l’amélioration des standards de vie, pour offrir des opportunités illimitees et pour encourager l’innovation en étant le seul système économique qui donne a chaque individu une chance égale de succes.
Quand-même, il y a plusieurs qui sont en désaccord et disent qu’il y a un grand montant de problèmes et défauts qui remportent sur le montant des avantages. Des critiques économistes présentent l’argument que ca cause des inégalités, des défaillances du marché et des cycles économiques d’expansion et de ralentissement.
Les bénéfices du capitalisme sont rarement équitablement distribués. La richesse a tendance à s’accumuler pour un petit pourcentage de la population. Cela signifie que la demande de produits de luxe est souvent limitée à un faible pourcentage de la population active.
« C’est une affaire truquée dans un sens évident » dit Joseph Stiglitz, un lauréat du prix Nobel d’économie et auteur de People, Power and Profits. « Certains – les riches et les puissants et leurs enfants – ont de meilleures chances que d’autres, permettant ainsi de perpétuer des avantages ».
Les capitalistes peuvent passer leur patrimoine a leurs enfants. Ce qui sont née avec des privilèges sont plus susceptibles d’être fructueux a cause de leur accès à une meilleure éducation et aux priorités de valeur.
Ils peuvent également utiliser leurs produits pour acheter plus d’actifs et de richesse, créant ainsi un effet multiplicateur de richesse. Les personnes sans richesse sont laissées pour compte et peuvent voir les prix de l’immobilier augmenter plus vite que l’inflation.
De plus, les atteints du capitalisme peuvent être redoutable pour l’environnement. Une entreprise capitaliste maximisant les bénéfices ignore les externalités négatives, telles que la pollution due à la production; ce qui peut nuire au niveau de vie. De même, une économie de marché manque de fournir des biens aux externalités positives, tels que la santé, les transports en commun et l’éducation. Cela conduit à une allocation inefficace des ressources.
L’éditorialiste Guardian, George Monbiot, aborde ces problèmes en manifestant que « nous devons trouver des moyens de générer un bien-être humain meilleur et moins dommageable pour lui que le capitalisme ».
La nature consumériste du capitalisme récompense le profit. Ce système peut inciter les dirigeants à rechercher les choix qui accorderait un plus grand prix sauf de chercher des décisions qui maximiseraient le bien-être social. Les entreprises utilisent les théories de la discrimination par les prix pour facturer des prix plus élevés aux consommateurs qui souhaitent passer la queue. Cependant, si nous avons une société, où les riches peuvent payer pour faire la queue à un champ de foire – ou payer pour voir un membre du Congrès plus rapidement, cela saperait les normes sociales et le sens du « fair-play ».
En fin de compte, le capitalisme nous contraint et commence à présenter des revers qui ralentissent la progression de notre société. C’est prêt à infliger des dommages incroyables à la poursuite de cet objectif et d’autres. C’est déshumanisant. Des changements et des réformes sont surtout nécessaires pour parvenir à une économie plus dynamique. Même si la politique est juste et si nous parvenons aux réformes, il peut être difficile de mener une vie de classe moyenne: même les familles occupant un emploi raisonnable risquent de ne pas être en mesure de prendre une retraite adéquate ou de se permettre d’envoyer leurs enfants à l’université. Néanmoins, si on veut une altération, on n’a pas beaucoup d’options de remplacement. Si nous finissons en choisissant d’aller dans une autre direction, c’est difficile de prévoir ou on va se rendre.
